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L'alternance au Cnam, nos élèves témoignent - Julie, future ingénieure en aéronautique et spatial

5 janvier 2015

Julie, bac ES en poche, décroche un DUT et choisit un parcours d'ingénieur. Actuellement en 2e année à l'École d'ingénieurs du Cnam (EICnam), elle prépare le diplôme d'ingénieur spécialité aéronautique et spatial en apprentissage.



"L’intérêt que je porte aux chiffres et la science en général me vient des enseignants rencontrés durant ma scolarité. En primaire, une enseignante m'a transmis sa passion pour les études et m'a permis de découvrir l'univers des sciences. Au collège, puis au lycée, mes professeurs de mathématiques ou de sciences m'ont appris à manier les chiffres et à comprendre la logique des mathématiques.

Grâce à l’apprentissage, j’ai pu accéder à une grande école d’ingénieur en sortant d’un DUT mesures physiques sans passer par une classe préparatoire. L’apprentissage me permet d’entrer progressivement dans le monde du travail. Au cours des périodes en entreprise, je peux allier la théorie à la pratique. En poursuivant cette formation rémunérée, je deviens en outre indépendante financièrement.

Le Cnam est la seule école qui propose une filière par alternance exclusivement basée sur l’aéronautique et le spatial. Pour tous les étudiants passionnés comme moi par ce secteur, cette filière est facilement accessible avec un DUT ou un BTS. Elle permet d’être diplômée d’une grande école : le Cnam en partenariat avec l'Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace (ISAE).

Comprendre la mécanique du vol et l’étude des performances d’un avion mais aussi l’aérodynamique… c’est ce qui me plaît dans ma formation. Comme nous sommes la première promotion de la filière aéronautique et spatial, nous avons une certaine liberté de pouvoir dire ce que l’on pense et de faire des choix. Ma promotion forme un bon groupe dynamique où l’entraide et la compréhension règnent.

En attendant une promesse d’embauche au sein d’un grand groupe dans un secteur en pleine mutation, j’envisage peut-être de rédiger une thèse ou de prolonger mon expérience par un volontariat international en entreprise (VIE) qui me permettrait de voyager et de connaître un peu plus le monde professionnel mais à l’étranger cette fois-ci."